samedi 20 avril 2013

États-Unis : la menace du déclin

http://www.alternatives-economiques.fr/etats-unis--la-menace-du-declin_fr_art_1097_54770.html

Chômage, surendettement des ménages, déficits publics… Cette fois, les limites du modèle américain sont probablement atteintes.
La crise actuelle a été déclenchée par les excès de la dérégulation financière outre-Atlantique combinés aux fantastiques déséquilibres accumulés au sein de l'économie américaine.
Marquera-t-elle la fin de la domination des Etats-Unis sur l'économie mondiale ?
Il est trop tôt pour le dire, mais cela semble probable bien que, face aux chocs subis depuis trente ans, l'économie américaine ait toujours su se relever plus rapidement que les économies européenne ou japonaise.
Il y a cependant des raisons de penser que, cette fois, les limites ultimes du modèle américain ont bien été atteintes.

http://www.alternatives-economiques.fr/etats-unis--la-menace-du-declin_fr_art_1097_54770.html

Répartition de la richesse et économie allemande : une petite démythification


http://criseusa.blog.lemonde.fr/



Dans ce papier nous interrogeons l’économie allemande dans une double perspective. Aux USA, le partage de la richesse nationale a abouti à une répartition du revenu défavorable aux revenus salariaux et à l’investissement. Cette défaveur a entraîné un lent affaiblissement du taux d’investissement productif et une inégalité croissante des revenus entre le Top Ten (ou 20 des ménages) et le reste de la population. .
La chute du taux d’investissement - totalement compatible avec la nécessité de délocaliser la production industrielle et de produire des marchandises entrant dans la consommation des ménages - s’est accompagnée d’un partage des revenus de la propriété du capital (Revenu de la propriété directe et indirecte des entreprises + intérêts des placements financiers) toujours plus favorable à une fraction réduite des Américains.
Une question se pose donc : peut-on retrouver dans l’économie allemande des traits similaires permettant de montrer que l’Allemagne suit les Etats-Unis en manifestant des tendances au déclin spécifique.
Il va sans le dire que ces tendances ne peuvent pas se reproduire à l’identique. C’est pourquoi nous devrons être très attentif à la manière dont des phénomènes communs peuvent s’exprimer de manière à chaque fois particulière : les Allemands ne sont pas des Américains.
Ce papier se penche sur la période allant de la réunification à 2012. Cette période est fondamentale : en effet à partir des réformes Schröder, l’économie allemande renforce sa compétitivité en modérant fortement ses salaires. Il faut donc s’interroger et déterminer à qui a profité la richesse produite. Ce sera notre premier point (A). Il faudra ensuite examiner la logique de l’investissement productif – bâtiment inclus (B). On verra que l’investissement allemand a pris une forme ambiguë et que les données disponibles ne vont pas sans poser des problèmes d’interprétation.
Nous essaierons en conclusion de montrer que des tendances profondes conduisant à des problèmes inévitables d’investissement et de partage du revenu ont été suspendues par la crise. Notre conclusion restera ouverte et problématique en raison de données passablement contradictoires et d’une américanisation suspendue.

samedi 13 avril 2013

> À la une » Mensuel » Opinions » Ressources pédagogiques » Agir » Formation » Nos autres titres » La nouvelle économie est-elle si nouvelle ?

http://www.alternatives-economiques.fr/la-nouvelle-economie-est-elle-si-nouvelle-_fr_art_157_16778.html


Arnaud PARIENTY
Alternatives Economiques n° 202 - avril 2002

Les nouvelles technologies sont-elles en mesure de révolutionner l'économie? Certes, il y a là des innovations susceptibles de favoriser la croissance. Mais la récession américaine a fragilisé les discours prophétisant la fin des cycles et une accélération de la croissance. A y regarder de plus près, les performances de cette "nouvelle économie" comme la rupture qu'elle introduit semblent avoir été surestimées. On peut alors se demander si la fonction de ces discours n'est pas tout bonnement de légitimer les cours boursiers très élevés de ces dernières années. Pourtant, la nouvelle économie a vraiment des caractéristiques originales, qui rendent nécessaire l'invention d'un nouveau modèle économique.
1.
Les Etats-Unis ont connu une période de croissance rapide dans les années 90 (près de 5% par an entre 1995 et 2000), très supérieure aux performances des autres pays développés et des décennies précédentes.
Cette croissance s'est accompagnée d'une augmentation remarquable des gains de productivité, qui a permis de concilier stabilité des prix et plein-emploi.
Les profits des entreprises ont explosé, entraînant une forte hausse de la Bourse.
Cette croissance est tirée par les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC): l'informatique, la téléphonie mobile, Internet (*) .
Pour beaucoup, du fait de leur avance dans ce secteur, les Etats-Unis sont entrés les premiers dans un nouveau cycle long de croissance, destiné à toucher les autres régions du globe.

Définition de la nouvelle economie

http://barthes.ens.fr/scpo/Presentations00-01/Shibasaki_e-economie/NouvelleEconomie.htm


Allons-nous rentrer dans la "nouvelle économie" ?
Ce terme définit aux Etats-Unis la croissance tirée par les nouvelles technologies et se caractérise par une absence d'inflation, le plein-emploi et une conquête du monde. Estimé à 4 milliards de dollars en 1994, le chiffre d'affaires directement généré par internet aurait atteint les 301 milliards de dollars (318 milliards d'euros) en 1998, ce qui ramène le chiffre d'affaires de l'Internet au niveau des industries phares de l'économie américaine, comme l'automobile (350 milliards de dollars).
En France les NTIC auraient contribuées à 5 % du PIB, 3,5% de la richesse nationale et 15% de la croissance économique en 1998. Si on est encore loin des Etats-Unis(un tiers de la croissance), on ne peut pas dire que l'on est épargné par cette (r)évolution. La France va rentrer dans la nouvelle économie et va devoir rattraper son retard en terme de population connectée, d'usage professionnel d'internet et de création de contenus.
Un des éléments les plus encourageants de cette nouvelle économie est la création de nouvelles sociétés qui se développent rapidement et vendent au monde entier. On connaît Yahoo qui s'est développé en moins de cinq ans, passant d'un service créé par deux étudiants à une société plus importante que Boing en termes de capitaux. Cependant la nouvelle-économie ne se limite pas à des entreprises du secteur de la high-tech, c'est aussi une entreprise traditionnelle de casse automobile qui double son chiffre à l'export grâce à son site. C'est une entreprise d'assurance qui revoit son organisation lors de la mise en place d'un intranet et qui donne à chaque salarié plus d'autonomie et de responsabilité, diminuant ainsi les niveaux hiérarchiques. C'est une entreprise familiale de porcelaines qui se met sur internet et sauve des emplois en vendant au Japon.

mercredi 3 avril 2013

Financement de la nation Le besoin atteint plus de 64 MMDH en 2011

http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2013/4/2/le-besoin-atteint-plus-de-64-mmdh-en-2011_209049.html#.UVdDUDfuqPA

Les opérations économiques avec l'extérieur se sont soldées en 2011 par un besoin de financement de la nation de plus de 64 milliards de DH (MMDH) au lieu de 34 MMDH en 2010, indique lundi le HCP, en présentant la séquence complète des comptes non financiers et financiers des secteurs institutionnels pour l'exercice 2011.
Ce résultat s'explique notamment par le besoin de financement dégagé par les sociétés non financières qui, après avoir affiché une amélioration relative en 2010 (passant de 71 MMDH en 2009 à 54 MMDH en 2010), s'est accentué en 2011 pour atteindre 61 MMDH, relève un communiqué du HCP sur les comptes sectoriels.
Ce besoin de financement a été pratiquement couvert par les crédits bancaires qui ont enregistré un flux de l'ordre de 50 MMDH et les émissions d'actions qui s'élèvent à 48 milliards de DH.

Economie verte “Une nécessité économique et une obligation morale”

http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2013/4/3/une-necessite-economique-et-une-obligation-morale_209130.html#.UVdCozfuqPA


Selon le haut commissaire au Plan, Ahmed Lahlimi, l'économie verte revêt pour nos pays le triple caractère “d'une nécessité économique, d'une obligation morale et d'une exigence sociétale”.
Dans une allocution à l'occasion d'un séminaire régional sur “la comptabilité des actifs naturels pour une croissance verte dans la région MENA”, organisé récemment à Marseille, Lahlimi a expliqué que le modèle de production et de consommation, adopté par les pays de la région, ne peut se reproduire sans un redimensionnement des impératifs de l'environnement dans les politiques économiques, sociales et culturelles.
“L'économie verte ne peut être, dès lors, un paradigme de mode pour discours académiques ou électoraux. C'est, de toute évidence, une réponse impérative de ces derniers aux défis de la dégradation des actifs naturels, de la cohésion sociale et de l'égalité intergénérationnelle des chances.”
Ahmed Lahlimi, haut commissaire au Plan

Secteur bancaire marocain en 2012 Des réalisations qui défient la conjoncture

http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2013/4/3/des-realisations-qui-defient-la-conjoncture_209129.html#.UVdCrTfuqPA

Les banques marocaines ont enregistré en 2012 des performances substantielles malgré une conjoncture difficile marquée par une pénurie de liquidité, selon une étude de la division Analyses et recherches relevant de la banque d'investissement Upline Group.
“En dépit d'un contexte économique défavorable marqué par un assèchement de la liquidité bancaire et une dégradation de la qualité des engagements, les agrégats financiers de l'ensemble des banques ressortent en amélioration”, souligne l'étude de la filiale de la Banque populaire du Maroc.
Ainsi, le produit net bancaire (PNB) consolidé a atteint 9,3% à 44,4 milliards de dirhams (MMDH), boosté principalement par les performances de la Banque centrale populaire (BCP), Attijariwafa bank et BMCE Bank. Ces trois banques ont contribué au PNB respectivement à hauteur de 1,35 MMDH, 1,16 MMDH et 877,7 millions de dirhams (MDH), relève la même source.
22,5 MMDH

CRI de Meknès-Tafilalet 1.837 entreprises créées en 2012

http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2013/4/3/1837-entreprises-creees-en-2012_209125.html#.UVdDRjfuqPA

L’année 2012 a été marquée par l’augmentation du nombre d’entreprises créées (1.837, soit une hausse de 14%) et des projets d’investissement agréés (39%), a annoncé le Centre régional d'investissements de la région de Meknès-Tafilalet.
Les intentions d’investissement sont estimées à près de 1 milliard DH, ce qui permettra de créer 6.067 postes d’emploi.
Les personnes morales représentent 65% des entreprises créées avec une prédominance de la S.A.R.L (99 %), et la majorité de ces créations concerne trois secteurs : le commerce (35%), le BTP (28%)  et les services (23%). Dans le secteur industriel, 59 entreprises ont été créées en 2012.
S’agissant des projets d’investissement agréés, ils ont atteint le nombre de 745, soit une hausse de plus de 39% par rapport à l’année précédente, dont 7 projets présentent un montant supérieur à 200 millions de DH chacun.

Bourse: Les programmes de rachat se banalisent

http://economie-marocaine.blogspot.com/2009/01/bourse-les-programmes-de-rachat-se.html

Bourse: Les programmes de rachat se banalisent

26jan
L’évolution en dents-de-scie des indicateurs boursiers continue à alimenter l’engouement pour les opérations de rachat. En effet, sur la place casablancaise, pas moins de 14 programmes sont en cours actuellement. Les plus récents sont ceux de Label’Vie et de Sothema qui viennent de débuter il y a à peine quelques semaines. Ainsi, pour le seul mois de décembre, ce sont 11 sociétés cotées qui ont opéré un rachat de leur propres actions. Et le bilan reste très inégal entre ces dernières. «Les différences résident dans le fait que les émetteurs agissent en contre-tendance sur leur titre dans la limite de leurs moyens et en fonction du cash ou crédit dont ils disposent», explique un analyste. Et c’est BMCE Bank qui arrive en tête du peloton avec 2.611.729 actions récupérées durant le même mois selon un cours pondéré de 246,7 DH. Second du lot, Maroc Telecom rachète 212.620 actions. L’opérateur téléphonique crée toutefois l’exception en cédant 70.000 titres (au prix unitaire de 169 DH), à l’heure où tous les autres programmes sont uniquement orientés vers le rachat. Atlanta arrive en 3e place pour acquérir 66.149 actions au prix unitaire de 16,82 DH. De son côté, Label’Vie en rachète 31.727 (1.231 DH) à l’heure où Cartier Saada rentre en possession de 20.007 de ses titres (16,82 DH). Durant le mois de décembre, les petites et moyennes

Attractivité du Maroc : les RH, la logistique et la dépendance à l'extérieur pénalisent le Royaume

http://www.lavieeco.com/news/economie/attractivite-du-maroc-les-rh-la-logistique-et-la-dependance-a-l-exterieur-penalisent-le-royaume-25075.html


Les investisseurs étrangers sont unanimes à louer les efforts et les réformes du Maroc pour attirer plus d'investissements. Plusieurs d’entre eux capitalisent aussi sur la position du pays en tant que plateforme pour desservir le reste de l'Afrique.
Investissement Maroc Attractivite.
Les décideurs internationaux réunis à Marrakech à l’occasion de la World Investment Conference North Africa ont été unanimes à louer les efforts déployés par le Maroc pour améliorer son attractivité par rapport aux investissements directs étrangers. L’ensemble des intervenants a mis en relief la portée des plans et programmes sectoriels qui sont en train de redéfinir les contours de tout le tissu économique. Efforts de nature à «mettre le Maroc et l’ensemble de l’Afrique du Nord sur la carte pour les entreprises internationales en tant qu’espace pour développer les affaires à long terme», affirme Abdelkader Amara, ministre du commerce, de l’industrie et des nouvelles technologies.

mardi 2 avril 2013

Roue de Deming


http://www.ouati.com/roue_de_deming.html

La roue de Deming, est une illustration de la méthode qualité PDCA (Plan Do Check Act), son nom vient du statisticien W.E.Deming (*)

La méthode comporte quatre étapes, chacune entraînant l'autre, et vise à établir un cercle vertueux. Sa mise en place doit permettre d'améliorer sans cesse la qualité d'un produit, d'une œuvre, d'un service...

  • Plan: ce que l'on va faire
  • Do: production
  • Check: mesure, vérification
  • Act: décision améliorative, corrective
Roue de Deming
Cliquer sur l’image pour l’agrandir

Le coût minute

http://www.ouati.com/cout_minute.html

Le coût minute


1 - Définition :

Le coût minute est le coût de revient de la minute de travail, ce coût représente les dépenses engagées ou à engager pour une saison ramené à la minute.
Le coût de la matière première n'est pas inclus dans la détermination du coût minute, c'est donc l'unité de mesure du coût de revient de fabrication.
Cette méthode de calcul du coût de revient est pratiquer par la majorité des entreprises de confection.
2 - Pourquoi le coût minute?
La plupart des entreprises de confection expriment les temps de fabrication en minute, c'est la raison essentielle qui motive le calcul de prix de revient de fabrication par minute de travail.
Exemple:

Les cercles de qualité

http://www.ouati.com/cercles%20de%20qualite.html


Définition :

Les cercles de qualité sont de petits groupes de 3 à 10 employés, appartenant à la même unité de travail (atelier, unité de production, service) ou ayant des préoccupations professionnelles communes qui se réunissent volontairement et de façon régulière pour définir, analyser, choisir, proposer et résoudre les problèmes relatifs à leur activité.

Définition d’Ishikawa (*) : « le cercle de qualité est un petit groupe qui gère volontairement la qualité dans un atelier. Ce petit groupe effectue, dans le cadre de la gestion de la qualité intégrale, le contrôle de la qualité et les améliorations diverses de son atelier, en s’instruisant, en se stimulant mutuellement de façon permanente et en élevant la formation de tous les membres de l’atelier.»
Principe :

lundi 1 avril 2013

Cyprus crisis: Moscow will not bail out Russian savers

http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-21992745


A Laiki bank branch in Nicosia, 29 Mar 13 For years Cypriot banks have attracted Russian investors with competitive rates
The Russian government says it will not compensate Russian savers who have lost money in the Cyprus banking crisis.
Russians are believed to have billions of euros in Cypriot accounts and deposits above 100,000 euros (£84,300; $128,200) in the two biggest banks could be reduced by as much as 60%.
Such losses would be "a great shame", First Deputy PM Igor Shuvalov said, "but the Russian government won't take any action in that situation".
Cyprus now restricts cash withdrawals.
A 10bn-euro bailout from the EU and IMF - required to keep the debt-laden Cypriot economy afloat - will only be granted if Cyprus itself raises 5.8bn euros, most of which looks likely to come from depositors with more than 100,000 euros in Bank of Cyprus and Laiki (Popular Bank).
'Haircut' for depositors Laiki, the second largest bank, is being wound up and folded into Bank of Cyprus, the biggest bank.
Speaking on the Russian state TV channel Rossiya 1, Mr Shuvalov said Russian money in Cyprus included some that had been taxed and some that had not.
He said the Russian government would still look at cases where there were "serious losses, involving companies in which the Russian state is a shareholder". That review would take place in Russia, and "for this it would certainly not be necessary to help the Republic of Cyprus", he said.

Cyprus capital controls

  • Daily withdrawals limited to 300 euros
  • Cashing of cheques banned
  • Those travelling abroad can take no more than 1,000 euros out of the country
  • Payments and/or transfers outside Cyprus via debit and or credit cards permitted up to 5,000 euros per month
  • Businesses able to carry out transactions up to 5,000 euros per day
  • Special committee to review commercial transactions between 5,000 and 200,000 euros and approve all those over 200,000 euros on a case-by-case basis
  • No termination of fixed-term deposit accounts before maturity
Many of the large-scale foreign investors in Cyprus are Russian - and in many cases they have taken advantage of the island's status as an offshore tax haven. Some politicians have accused Cyprus of acting as a hub for Russian money-laundering - an allegation rejected by Cypriot officials.
After years of large-scale capital flight from Russia there is now a Kremlin drive to repatriate Russian money. The government has introduced tighter monitoring of foreign bank accounts held by Russian state employees.
Bank of Cyprus depositors with more than 100,000 euros could lose up to 60% of their savings as part of the bailout, officials say.
The central bank says 37.5% of holdings over 100,000 euros will become shares.
Up to 22.5% will go into a fund attracting no interest and may be subject to further write-offs.
The other 40% will attract interest - but this will not be paid unless the bank performs well.
The fear is that once the unprecedented capital controls - which are in place for an indefinite time - are lifted, the wealthiest will rush to move their deposits abroad, the BBC's Mark Lowen reports from Nicosia.
Cyprus has become the first eurozone member country to bring in capital controls to prevent a torrent of money leaving the island and credit institutions collapsing.
Cypriot President Nicos Anastasiades has said the financial situation has been "contained" following the deal.
He has also stressed that Cyprus has no intention of leaving the euro, stressing that "in no way will we experiment with the future of our country".

Le Dow Jones bat des records

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/03/15/a-wall-street-le-dow-jones-bat-des-records_1848850_3234.html
L'indice vedette de la Bourse de New York a gagné 11 % depuis le début de l'année.

Wall Street a poursuivi son ascension irrésistible jeudi, l'indice vedette Dow Jones signant son huitième record historique d'affilée et clôturant en hausse pour la dixième séance consécutive, une première depuis 1996 : l'indice a gagné 0,58 %. Selon des résultats définitifs, le Dow Jones Industrial Average a avancé de 83,86 points, à 14 539,14 points, un niveau jamais vu auparavant en clôture. Il affiche désormais un gain de près de 11 % depuis le début de l'année, alors que l'économie américaine reste convalescente et soumise aux conséquences des coupes budgétaires automatiques.

Où va l’économie numérique ? (1/3) : Vers une innovation sans emplois ?

http://www.internetactu.net/2012/02/01/ou-va-leconomie-numerique-13-vers-une-innovation-sans-emplois/

Où va l’économie numérique ? (1/3) : Vers une innovation sans emplois ?

Par le 01/02/12 | 21 commentaires | 7,737 lectures | Impression
Même s’il est toujours difficile à mesurer, l’impact d’internet sur l’économie a toujours été observé avec attention, notamment par les acteurs de la nouvelle économie eux-mêmes, toujours à la recherche de métriques pour valoriser leurs résultats face aux pesanteurs de l’ancienne économie. Selon une récente étude du Centre pour l’innovation, la technologie et la stratégie numériques de l’école de gestion Robert H. Smith de l’université du Maryland, Facebook aurait permis de créer entre 180 et 240 000 emplois indirects aux Etats-Unis grâce au développement de l’édition d’applications, rapporte L’Expansion. Selon une étude du cabinet Deloitte – commanditée par Facebook., siccitée par Philippe Escande des Echos, l’écosystème de Facebook en aurait créé 232 000 en Europe (soit 22 000 emplois en France et 1,9 milliard de chiffres d’affaires).
En mars dernier, une étude de McKinsey – commanditée par Google, re-sic – suggérait qu’internet aurait créé 25 % d’emplois en France depuis 1995, expliquait Jean-Marc Manach pour Owni.

ÉCONOMIE DE MARCHÉ

http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMDictionnaire?iddictionnaire=1551

ÉCONOMIE DE MARCHÉ

Brève définition - Équipe Perspective Monde

Économie de marché: système dans lequel les agents économiques (entreprises, individus) ont la liberté de vendre et d'acheter des biens, des services et des capitaux. Chacun agit alors en fonction de ses intérêts; le profit, considéré positivement, y figure comme la récompense du risque. Les défenseurs de l'économie de marché estiment qu'un tel "laissez faire" favorise la croissance économique. Une économie de marché s'oppose à une économie planifiée dans laquelle toutes les grandes décisions sont prises par l'État.

Dans la plupart des sociétés, l'économie de marché se combine avec des restrictions ou des balises imposées par l'État en vue d'un meilleur fonctionnement du marché. Une telle économie n'est pas incompatible avec l'existence de programmes sociaux et d'un État interventionniste, à moins que celui-ci ne dépasse une certaine limite. Dans la plupart des économies de marché, la part la plus importante des biens est régie par l'économie de marché. Certains secteurs -éducation, santé, transport en commun- peuvent cependant être assumés par l'État ou selon la logique d'une économie planifiée. Synonyme: économie capitaliste, libre marché.