dimanche 19 mai 2013

Les théories managériales en organisations


http://mehdichahi.blog.kazeo.com/index.php?idblogp=1023094

Depuis le 19é siècle, plusieurs auteurs en organisation ont révolutionné la pensée managériale et organisationnelle.
Parmi eux, ceux dont le fondement de la réflexion été basé sur une analyse de la structure d'organisation selon ses aspects managériaux.

Voici une sélection des contributions des principaux auteurs de l'école de la théorie managériale, à savoir : Henri Fayol, Fredderic Taylor, Peter Drucker, Dubreuil, ainsi que d'autres.


Henry Fayol :
H. Fayol énumère les fonctions auxquelles donnent lieu les entreprises, petites ou grandes, simples ou complexes, et il les classe en six groupes :
·         Les activités techniques;
·         Les activités commerciales;
·         Les activités financières;
·         Les activités de sécurité;
·         Les activités comptables;
·         Les activités administratives.
Ces activités seront accomplies efficacement, en respectant les principes fondamentaux suivants :
-          La division du travail,
-          L'autorité et la responsabilité (la sanction étant la marque de responsabilité),
-          La discipline,
-          L'unité de commandement (chaque individu ne doit avoir qu'un seul chef),
-          L'unité de direction (un seul programme),
-          La subordination de l'intérêt individuel à l'intérêt général,
-          La rémunération,
-          Le degré de décentralisation,
-          L'hiérarchie,
-          L'ordre, exigeant une connaissance des besoins et ressources de l'organisation,
-          L'équité,
-          La stabilité du personnel,
-          L'initiative, managériale et opérationnelle,
-          Et l'union du personnel.

Frederic Wislow Taylor :

Economie managériale: théorie et applications

http://books.google.co.ma/books?id=2B2Gp3XvOvsC&source=gbs_navlinks_s&redir_esc=y
Edwin Mansfield


Cet ouvrage analyse en profondeur le lien existant entre la théorie économique traditionnelle et les sciences de la décision. Il montre comment les dirigeants des organisations marchandes et non-marchandes mettent en place et affinent leurs choix de politiques, en illustrant le propos de nombreuses applications concrètes issues de l'industrie, du commerce ou des services publics, et d'exemples devenus aujourd'hui des cas d'école. Après avoir expliqué clairement les concepts théoriques fondamentaux, le manuel dévoile comment on utilise sur le terrain l'analyse microéconomique et les outils d'aide à la décision que sont véritablement l'économétrie, l'optimisation, la programmation linéaire ou encore la théorie des jeux. Très didactique, l'ouvrage aborde le champ d'analyse de l'économie managériale, la prévision de la demande, la production et les coûts, les structures du marché (comportements stratégiques et politiques de prix), l'analyse du risque et de l'investissement, les relations État-entreprise (réglementation, environnement) et l'entreprise face à la mondialisation. Chaque chapitre comporte un résumé des concepts, des encadrés avec cas pratiques, des exercices avec éléments de corrigé, ainsi qu'une bibliographie. Le livre s'adresse aux étudiants des 1er et 2e cycles des universités, des écoles de commerce et des instituts de gestion.

lundi 13 mai 2013

Economie mondiale: retour sur 2012 et perspectives 2013

http://www.huffingtonpost.fr/jean-maxime/previsions-economie-mondiale-2013_b_2306156.html

ÉCONOMIE - Affirmation du rôle de la BCE face à la poursuite de la crise européenne, émancipation énergétique et stabilisation immobilière aux Etats-Unis, ralentissement structurel du monde émergent...
L'année 2012 aura été agitée sur le plan macro-économique.
Rapide retour en arrière sur les tendances marquantes de l'année et ébauches de perspectives pour 2013, qui verra symboliquement la part des pays "en développement" dépasser celle des pays développés dans le PIB mondial!
2012-12-15-CroissanceDveloppsEmerging.jpg

Europe: la BCE a sauvé les meubles, mais sans croissance point de salut?

Économie : l'année 2013 démarre très mal en France

http://www.lepoint.fr/economie/economie-l-annee-2013-demarre-tres-mal-en-france-24-01-2013-1619749_28.php


Présentée par le gouvernement comme l'année d'un "nouveau départ pour l'économie française", 2013 commence en fait sous les pires auspices : l'activité replonge, ravivant les craintes d'un retour de la récession alors même que la zone euro donne, elle, des signes d'embellie. "Nous sommes engagés dans un combat pour que 2013 soit un nouveau départ pour l'économie française", a affirmé mercredi Pierre Moscovici. Le ministre de l'Économie et des Finances en a profité pour confirmer sa prévision de croissance de 0,8 % pour cette année, même s'il laisse de plus en plus clairement entendre qu'elle pourrait être révisée à la baisse lorsque la France présentera sa stratégie budgétaire à Bruxelles, au début du printemps.
D'autres n'ont pas attendu. Les économistes tablent en moyenne sur une croissance de 0,1 % à peine en 2013, tandis que le Fonds monétaire international (FMI) vient d'abaisser sa propre prévision pour la France, de 0,4 % à 0,3 %. Surtout, alors que le gouvernement espérait que le plus dur était derrière lui, le spectre de la récession plane à nouveau sur ce début d'année. L'indice PMI, un indicateur avancé de la conjoncture jugé fiable par les analystes, signale en janvier la plus forte contraction de l'activité du secteur privé français depuis mars 2009.

"Inquiétant pour la suite"

L'économie mondiale en 2013: entre espoir et incertitude

http://fr.finance.yahoo.com/actualites/l-%C3%A9conomie-mondiale-en-2013--entre-espoir-et-incertitude-111409027.html

Si l'année 2012 a rassuré le petit monde la finance, l'année 2013 sera-t-elle dans son prolongement ou marquera-t-elle au contraire une remontée des risques ?

Comment va évoluer la situation économique en 2013 ? Il suffit de regarder un peu en arrière pour comprendre à quel point la prévision financière est un art difficile. Il y a un an, le très sérieux institut britannique CEBR (Centre for economics and business research), notamment connu pour son classement annuel des plus grandes puissances économiques mondiales, prédisait ainsi que 2012 marquerait le début de la dissolution de l'euro, avec la sortie d'un premier pays, avec une forte baisse de l'inflation. C'était compter sans Mario Draghi, nouveau président de la Banque centrale européenne, et son plan de communication sur l'euro "irréversible" reçu 5 sur 5 par les marchés. L'année 2012 s'est achevée, l'euro a toujours cours légal dans 17 pays et l'inflation ne s'est pas vraiment effondrée. A l'heure où chacun "mouline" ses prévisions pour l'année à venir, la circonspection est donc de mise.

L'optimisme prudent des financiers

samedi 20 avril 2013

États-Unis : la menace du déclin

http://www.alternatives-economiques.fr/etats-unis--la-menace-du-declin_fr_art_1097_54770.html

Chômage, surendettement des ménages, déficits publics… Cette fois, les limites du modèle américain sont probablement atteintes.
La crise actuelle a été déclenchée par les excès de la dérégulation financière outre-Atlantique combinés aux fantastiques déséquilibres accumulés au sein de l'économie américaine.
Marquera-t-elle la fin de la domination des Etats-Unis sur l'économie mondiale ?
Il est trop tôt pour le dire, mais cela semble probable bien que, face aux chocs subis depuis trente ans, l'économie américaine ait toujours su se relever plus rapidement que les économies européenne ou japonaise.
Il y a cependant des raisons de penser que, cette fois, les limites ultimes du modèle américain ont bien été atteintes.

http://www.alternatives-economiques.fr/etats-unis--la-menace-du-declin_fr_art_1097_54770.html

Répartition de la richesse et économie allemande : une petite démythification


http://criseusa.blog.lemonde.fr/



Dans ce papier nous interrogeons l’économie allemande dans une double perspective. Aux USA, le partage de la richesse nationale a abouti à une répartition du revenu défavorable aux revenus salariaux et à l’investissement. Cette défaveur a entraîné un lent affaiblissement du taux d’investissement productif et une inégalité croissante des revenus entre le Top Ten (ou 20 des ménages) et le reste de la population. .
La chute du taux d’investissement - totalement compatible avec la nécessité de délocaliser la production industrielle et de produire des marchandises entrant dans la consommation des ménages - s’est accompagnée d’un partage des revenus de la propriété du capital (Revenu de la propriété directe et indirecte des entreprises + intérêts des placements financiers) toujours plus favorable à une fraction réduite des Américains.
Une question se pose donc : peut-on retrouver dans l’économie allemande des traits similaires permettant de montrer que l’Allemagne suit les Etats-Unis en manifestant des tendances au déclin spécifique.
Il va sans le dire que ces tendances ne peuvent pas se reproduire à l’identique. C’est pourquoi nous devrons être très attentif à la manière dont des phénomènes communs peuvent s’exprimer de manière à chaque fois particulière : les Allemands ne sont pas des Américains.
Ce papier se penche sur la période allant de la réunification à 2012. Cette période est fondamentale : en effet à partir des réformes Schröder, l’économie allemande renforce sa compétitivité en modérant fortement ses salaires. Il faut donc s’interroger et déterminer à qui a profité la richesse produite. Ce sera notre premier point (A). Il faudra ensuite examiner la logique de l’investissement productif – bâtiment inclus (B). On verra que l’investissement allemand a pris une forme ambiguë et que les données disponibles ne vont pas sans poser des problèmes d’interprétation.
Nous essaierons en conclusion de montrer que des tendances profondes conduisant à des problèmes inévitables d’investissement et de partage du revenu ont été suspendues par la crise. Notre conclusion restera ouverte et problématique en raison de données passablement contradictoires et d’une américanisation suspendue.

samedi 13 avril 2013

> À la une » Mensuel » Opinions » Ressources pédagogiques » Agir » Formation » Nos autres titres » La nouvelle économie est-elle si nouvelle ?

http://www.alternatives-economiques.fr/la-nouvelle-economie-est-elle-si-nouvelle-_fr_art_157_16778.html


Arnaud PARIENTY
Alternatives Economiques n° 202 - avril 2002

Les nouvelles technologies sont-elles en mesure de révolutionner l'économie? Certes, il y a là des innovations susceptibles de favoriser la croissance. Mais la récession américaine a fragilisé les discours prophétisant la fin des cycles et une accélération de la croissance. A y regarder de plus près, les performances de cette "nouvelle économie" comme la rupture qu'elle introduit semblent avoir été surestimées. On peut alors se demander si la fonction de ces discours n'est pas tout bonnement de légitimer les cours boursiers très élevés de ces dernières années. Pourtant, la nouvelle économie a vraiment des caractéristiques originales, qui rendent nécessaire l'invention d'un nouveau modèle économique.
1.
Les Etats-Unis ont connu une période de croissance rapide dans les années 90 (près de 5% par an entre 1995 et 2000), très supérieure aux performances des autres pays développés et des décennies précédentes.
Cette croissance s'est accompagnée d'une augmentation remarquable des gains de productivité, qui a permis de concilier stabilité des prix et plein-emploi.
Les profits des entreprises ont explosé, entraînant une forte hausse de la Bourse.
Cette croissance est tirée par les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC): l'informatique, la téléphonie mobile, Internet (*) .
Pour beaucoup, du fait de leur avance dans ce secteur, les Etats-Unis sont entrés les premiers dans un nouveau cycle long de croissance, destiné à toucher les autres régions du globe.

Définition de la nouvelle economie

http://barthes.ens.fr/scpo/Presentations00-01/Shibasaki_e-economie/NouvelleEconomie.htm


Allons-nous rentrer dans la "nouvelle économie" ?
Ce terme définit aux Etats-Unis la croissance tirée par les nouvelles technologies et se caractérise par une absence d'inflation, le plein-emploi et une conquête du monde. Estimé à 4 milliards de dollars en 1994, le chiffre d'affaires directement généré par internet aurait atteint les 301 milliards de dollars (318 milliards d'euros) en 1998, ce qui ramène le chiffre d'affaires de l'Internet au niveau des industries phares de l'économie américaine, comme l'automobile (350 milliards de dollars).
En France les NTIC auraient contribuées à 5 % du PIB, 3,5% de la richesse nationale et 15% de la croissance économique en 1998. Si on est encore loin des Etats-Unis(un tiers de la croissance), on ne peut pas dire que l'on est épargné par cette (r)évolution. La France va rentrer dans la nouvelle économie et va devoir rattraper son retard en terme de population connectée, d'usage professionnel d'internet et de création de contenus.
Un des éléments les plus encourageants de cette nouvelle économie est la création de nouvelles sociétés qui se développent rapidement et vendent au monde entier. On connaît Yahoo qui s'est développé en moins de cinq ans, passant d'un service créé par deux étudiants à une société plus importante que Boing en termes de capitaux. Cependant la nouvelle-économie ne se limite pas à des entreprises du secteur de la high-tech, c'est aussi une entreprise traditionnelle de casse automobile qui double son chiffre à l'export grâce à son site. C'est une entreprise d'assurance qui revoit son organisation lors de la mise en place d'un intranet et qui donne à chaque salarié plus d'autonomie et de responsabilité, diminuant ainsi les niveaux hiérarchiques. C'est une entreprise familiale de porcelaines qui se met sur internet et sauve des emplois en vendant au Japon.

mercredi 3 avril 2013

Financement de la nation Le besoin atteint plus de 64 MMDH en 2011

http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2013/4/2/le-besoin-atteint-plus-de-64-mmdh-en-2011_209049.html#.UVdDUDfuqPA

Les opérations économiques avec l'extérieur se sont soldées en 2011 par un besoin de financement de la nation de plus de 64 milliards de DH (MMDH) au lieu de 34 MMDH en 2010, indique lundi le HCP, en présentant la séquence complète des comptes non financiers et financiers des secteurs institutionnels pour l'exercice 2011.
Ce résultat s'explique notamment par le besoin de financement dégagé par les sociétés non financières qui, après avoir affiché une amélioration relative en 2010 (passant de 71 MMDH en 2009 à 54 MMDH en 2010), s'est accentué en 2011 pour atteindre 61 MMDH, relève un communiqué du HCP sur les comptes sectoriels.
Ce besoin de financement a été pratiquement couvert par les crédits bancaires qui ont enregistré un flux de l'ordre de 50 MMDH et les émissions d'actions qui s'élèvent à 48 milliards de DH.

Economie verte “Une nécessité économique et une obligation morale”

http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2013/4/3/une-necessite-economique-et-une-obligation-morale_209130.html#.UVdCozfuqPA


Selon le haut commissaire au Plan, Ahmed Lahlimi, l'économie verte revêt pour nos pays le triple caractère “d'une nécessité économique, d'une obligation morale et d'une exigence sociétale”.
Dans une allocution à l'occasion d'un séminaire régional sur “la comptabilité des actifs naturels pour une croissance verte dans la région MENA”, organisé récemment à Marseille, Lahlimi a expliqué que le modèle de production et de consommation, adopté par les pays de la région, ne peut se reproduire sans un redimensionnement des impératifs de l'environnement dans les politiques économiques, sociales et culturelles.
“L'économie verte ne peut être, dès lors, un paradigme de mode pour discours académiques ou électoraux. C'est, de toute évidence, une réponse impérative de ces derniers aux défis de la dégradation des actifs naturels, de la cohésion sociale et de l'égalité intergénérationnelle des chances.”
Ahmed Lahlimi, haut commissaire au Plan

Secteur bancaire marocain en 2012 Des réalisations qui défient la conjoncture

http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2013/4/3/des-realisations-qui-defient-la-conjoncture_209129.html#.UVdCrTfuqPA

Les banques marocaines ont enregistré en 2012 des performances substantielles malgré une conjoncture difficile marquée par une pénurie de liquidité, selon une étude de la division Analyses et recherches relevant de la banque d'investissement Upline Group.
“En dépit d'un contexte économique défavorable marqué par un assèchement de la liquidité bancaire et une dégradation de la qualité des engagements, les agrégats financiers de l'ensemble des banques ressortent en amélioration”, souligne l'étude de la filiale de la Banque populaire du Maroc.
Ainsi, le produit net bancaire (PNB) consolidé a atteint 9,3% à 44,4 milliards de dirhams (MMDH), boosté principalement par les performances de la Banque centrale populaire (BCP), Attijariwafa bank et BMCE Bank. Ces trois banques ont contribué au PNB respectivement à hauteur de 1,35 MMDH, 1,16 MMDH et 877,7 millions de dirhams (MDH), relève la même source.
22,5 MMDH

CRI de Meknès-Tafilalet 1.837 entreprises créées en 2012

http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2013/4/3/1837-entreprises-creees-en-2012_209125.html#.UVdDRjfuqPA

L’année 2012 a été marquée par l’augmentation du nombre d’entreprises créées (1.837, soit une hausse de 14%) et des projets d’investissement agréés (39%), a annoncé le Centre régional d'investissements de la région de Meknès-Tafilalet.
Les intentions d’investissement sont estimées à près de 1 milliard DH, ce qui permettra de créer 6.067 postes d’emploi.
Les personnes morales représentent 65% des entreprises créées avec une prédominance de la S.A.R.L (99 %), et la majorité de ces créations concerne trois secteurs : le commerce (35%), le BTP (28%)  et les services (23%). Dans le secteur industriel, 59 entreprises ont été créées en 2012.
S’agissant des projets d’investissement agréés, ils ont atteint le nombre de 745, soit une hausse de plus de 39% par rapport à l’année précédente, dont 7 projets présentent un montant supérieur à 200 millions de DH chacun.

Bourse: Les programmes de rachat se banalisent

http://economie-marocaine.blogspot.com/2009/01/bourse-les-programmes-de-rachat-se.html

Bourse: Les programmes de rachat se banalisent

26jan
L’évolution en dents-de-scie des indicateurs boursiers continue à alimenter l’engouement pour les opérations de rachat. En effet, sur la place casablancaise, pas moins de 14 programmes sont en cours actuellement. Les plus récents sont ceux de Label’Vie et de Sothema qui viennent de débuter il y a à peine quelques semaines. Ainsi, pour le seul mois de décembre, ce sont 11 sociétés cotées qui ont opéré un rachat de leur propres actions. Et le bilan reste très inégal entre ces dernières. «Les différences résident dans le fait que les émetteurs agissent en contre-tendance sur leur titre dans la limite de leurs moyens et en fonction du cash ou crédit dont ils disposent», explique un analyste. Et c’est BMCE Bank qui arrive en tête du peloton avec 2.611.729 actions récupérées durant le même mois selon un cours pondéré de 246,7 DH. Second du lot, Maroc Telecom rachète 212.620 actions. L’opérateur téléphonique crée toutefois l’exception en cédant 70.000 titres (au prix unitaire de 169 DH), à l’heure où tous les autres programmes sont uniquement orientés vers le rachat. Atlanta arrive en 3e place pour acquérir 66.149 actions au prix unitaire de 16,82 DH. De son côté, Label’Vie en rachète 31.727 (1.231 DH) à l’heure où Cartier Saada rentre en possession de 20.007 de ses titres (16,82 DH). Durant le mois de décembre, les petites et moyennes

Attractivité du Maroc : les RH, la logistique et la dépendance à l'extérieur pénalisent le Royaume

http://www.lavieeco.com/news/economie/attractivite-du-maroc-les-rh-la-logistique-et-la-dependance-a-l-exterieur-penalisent-le-royaume-25075.html


Les investisseurs étrangers sont unanimes à louer les efforts et les réformes du Maroc pour attirer plus d'investissements. Plusieurs d’entre eux capitalisent aussi sur la position du pays en tant que plateforme pour desservir le reste de l'Afrique.
Investissement Maroc Attractivite.
Les décideurs internationaux réunis à Marrakech à l’occasion de la World Investment Conference North Africa ont été unanimes à louer les efforts déployés par le Maroc pour améliorer son attractivité par rapport aux investissements directs étrangers. L’ensemble des intervenants a mis en relief la portée des plans et programmes sectoriels qui sont en train de redéfinir les contours de tout le tissu économique. Efforts de nature à «mettre le Maroc et l’ensemble de l’Afrique du Nord sur la carte pour les entreprises internationales en tant qu’espace pour développer les affaires à long terme», affirme Abdelkader Amara, ministre du commerce, de l’industrie et des nouvelles technologies.

mardi 2 avril 2013

Roue de Deming


http://www.ouati.com/roue_de_deming.html

La roue de Deming, est une illustration de la méthode qualité PDCA (Plan Do Check Act), son nom vient du statisticien W.E.Deming (*)

La méthode comporte quatre étapes, chacune entraînant l'autre, et vise à établir un cercle vertueux. Sa mise en place doit permettre d'améliorer sans cesse la qualité d'un produit, d'une œuvre, d'un service...

  • Plan: ce que l'on va faire
  • Do: production
  • Check: mesure, vérification
  • Act: décision améliorative, corrective
Roue de Deming
Cliquer sur l’image pour l’agrandir

Le coût minute

http://www.ouati.com/cout_minute.html

Le coût minute


1 - Définition :

Le coût minute est le coût de revient de la minute de travail, ce coût représente les dépenses engagées ou à engager pour une saison ramené à la minute.
Le coût de la matière première n'est pas inclus dans la détermination du coût minute, c'est donc l'unité de mesure du coût de revient de fabrication.
Cette méthode de calcul du coût de revient est pratiquer par la majorité des entreprises de confection.
2 - Pourquoi le coût minute?
La plupart des entreprises de confection expriment les temps de fabrication en minute, c'est la raison essentielle qui motive le calcul de prix de revient de fabrication par minute de travail.
Exemple:

Les cercles de qualité

http://www.ouati.com/cercles%20de%20qualite.html


Définition :

Les cercles de qualité sont de petits groupes de 3 à 10 employés, appartenant à la même unité de travail (atelier, unité de production, service) ou ayant des préoccupations professionnelles communes qui se réunissent volontairement et de façon régulière pour définir, analyser, choisir, proposer et résoudre les problèmes relatifs à leur activité.

Définition d’Ishikawa (*) : « le cercle de qualité est un petit groupe qui gère volontairement la qualité dans un atelier. Ce petit groupe effectue, dans le cadre de la gestion de la qualité intégrale, le contrôle de la qualité et les améliorations diverses de son atelier, en s’instruisant, en se stimulant mutuellement de façon permanente et en élevant la formation de tous les membres de l’atelier.»
Principe :

lundi 1 avril 2013

Cyprus crisis: Moscow will not bail out Russian savers

http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-21992745


A Laiki bank branch in Nicosia, 29 Mar 13 For years Cypriot banks have attracted Russian investors with competitive rates
The Russian government says it will not compensate Russian savers who have lost money in the Cyprus banking crisis.
Russians are believed to have billions of euros in Cypriot accounts and deposits above 100,000 euros (£84,300; $128,200) in the two biggest banks could be reduced by as much as 60%.
Such losses would be "a great shame", First Deputy PM Igor Shuvalov said, "but the Russian government won't take any action in that situation".
Cyprus now restricts cash withdrawals.
A 10bn-euro bailout from the EU and IMF - required to keep the debt-laden Cypriot economy afloat - will only be granted if Cyprus itself raises 5.8bn euros, most of which looks likely to come from depositors with more than 100,000 euros in Bank of Cyprus and Laiki (Popular Bank).
'Haircut' for depositors Laiki, the second largest bank, is being wound up and folded into Bank of Cyprus, the biggest bank.
Speaking on the Russian state TV channel Rossiya 1, Mr Shuvalov said Russian money in Cyprus included some that had been taxed and some that had not.
He said the Russian government would still look at cases where there were "serious losses, involving companies in which the Russian state is a shareholder". That review would take place in Russia, and "for this it would certainly not be necessary to help the Republic of Cyprus", he said.

Cyprus capital controls

  • Daily withdrawals limited to 300 euros
  • Cashing of cheques banned
  • Those travelling abroad can take no more than 1,000 euros out of the country
  • Payments and/or transfers outside Cyprus via debit and or credit cards permitted up to 5,000 euros per month
  • Businesses able to carry out transactions up to 5,000 euros per day
  • Special committee to review commercial transactions between 5,000 and 200,000 euros and approve all those over 200,000 euros on a case-by-case basis
  • No termination of fixed-term deposit accounts before maturity
Many of the large-scale foreign investors in Cyprus are Russian - and in many cases they have taken advantage of the island's status as an offshore tax haven. Some politicians have accused Cyprus of acting as a hub for Russian money-laundering - an allegation rejected by Cypriot officials.
After years of large-scale capital flight from Russia there is now a Kremlin drive to repatriate Russian money. The government has introduced tighter monitoring of foreign bank accounts held by Russian state employees.
Bank of Cyprus depositors with more than 100,000 euros could lose up to 60% of their savings as part of the bailout, officials say.
The central bank says 37.5% of holdings over 100,000 euros will become shares.
Up to 22.5% will go into a fund attracting no interest and may be subject to further write-offs.
The other 40% will attract interest - but this will not be paid unless the bank performs well.
The fear is that once the unprecedented capital controls - which are in place for an indefinite time - are lifted, the wealthiest will rush to move their deposits abroad, the BBC's Mark Lowen reports from Nicosia.
Cyprus has become the first eurozone member country to bring in capital controls to prevent a torrent of money leaving the island and credit institutions collapsing.
Cypriot President Nicos Anastasiades has said the financial situation has been "contained" following the deal.
He has also stressed that Cyprus has no intention of leaving the euro, stressing that "in no way will we experiment with the future of our country".

Le Dow Jones bat des records

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/03/15/a-wall-street-le-dow-jones-bat-des-records_1848850_3234.html
L'indice vedette de la Bourse de New York a gagné 11 % depuis le début de l'année.

Wall Street a poursuivi son ascension irrésistible jeudi, l'indice vedette Dow Jones signant son huitième record historique d'affilée et clôturant en hausse pour la dixième séance consécutive, une première depuis 1996 : l'indice a gagné 0,58 %. Selon des résultats définitifs, le Dow Jones Industrial Average a avancé de 83,86 points, à 14 539,14 points, un niveau jamais vu auparavant en clôture. Il affiche désormais un gain de près de 11 % depuis le début de l'année, alors que l'économie américaine reste convalescente et soumise aux conséquences des coupes budgétaires automatiques.

Où va l’économie numérique ? (1/3) : Vers une innovation sans emplois ?

http://www.internetactu.net/2012/02/01/ou-va-leconomie-numerique-13-vers-une-innovation-sans-emplois/

Où va l’économie numérique ? (1/3) : Vers une innovation sans emplois ?

Par le 01/02/12 | 21 commentaires | 7,737 lectures | Impression
Même s’il est toujours difficile à mesurer, l’impact d’internet sur l’économie a toujours été observé avec attention, notamment par les acteurs de la nouvelle économie eux-mêmes, toujours à la recherche de métriques pour valoriser leurs résultats face aux pesanteurs de l’ancienne économie. Selon une récente étude du Centre pour l’innovation, la technologie et la stratégie numériques de l’école de gestion Robert H. Smith de l’université du Maryland, Facebook aurait permis de créer entre 180 et 240 000 emplois indirects aux Etats-Unis grâce au développement de l’édition d’applications, rapporte L’Expansion. Selon une étude du cabinet Deloitte – commanditée par Facebook., siccitée par Philippe Escande des Echos, l’écosystème de Facebook en aurait créé 232 000 en Europe (soit 22 000 emplois en France et 1,9 milliard de chiffres d’affaires).
En mars dernier, une étude de McKinsey – commanditée par Google, re-sic – suggérait qu’internet aurait créé 25 % d’emplois en France depuis 1995, expliquait Jean-Marc Manach pour Owni.

ÉCONOMIE DE MARCHÉ

http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMDictionnaire?iddictionnaire=1551

ÉCONOMIE DE MARCHÉ

Brève définition - Équipe Perspective Monde

Économie de marché: système dans lequel les agents économiques (entreprises, individus) ont la liberté de vendre et d'acheter des biens, des services et des capitaux. Chacun agit alors en fonction de ses intérêts; le profit, considéré positivement, y figure comme la récompense du risque. Les défenseurs de l'économie de marché estiment qu'un tel "laissez faire" favorise la croissance économique. Une économie de marché s'oppose à une économie planifiée dans laquelle toutes les grandes décisions sont prises par l'État.

Dans la plupart des sociétés, l'économie de marché se combine avec des restrictions ou des balises imposées par l'État en vue d'un meilleur fonctionnement du marché. Une telle économie n'est pas incompatible avec l'existence de programmes sociaux et d'un État interventionniste, à moins que celui-ci ne dépasse une certaine limite. Dans la plupart des économies de marché, la part la plus importante des biens est régie par l'économie de marché. Certains secteurs -éducation, santé, transport en commun- peuvent cependant être assumés par l'État ou selon la logique d'une économie planifiée. Synonyme: économie capitaliste, libre marché.

mercredi 27 mars 2013

Entretien avec l'économiste Driss Benali : «Le Maroc est en train d'hypothéquer l'avenir des générations futures»

http://www.maghress.com/fr/financesnews/1213

Entretien avec l'économiste Driss Benali : «Le Maroc est en train d'hypothéquer l'avenir des générations futures»

Publié dans Finances news le 21 - 02 - 2007

* Le règlement anticipé de la dette intérieure risque de créer des tensions inflationnistes.
* Le recours aux maturités «long terme» permet à l'Etat d'être relativement à l'aise dans le remboursement de la dette.
Finances News Hebdo : Depuis quelques années, le Maroc s'est efforcé de réduire sa dette extérieure au détriment de sa dette intérieure. Quel est l'impact de ce choix sur les Finances publiques ? Et comment jugez-vous l'arbitrage que fait le Trésor entre dette extérieure et dette intérieure ?
Driss Benali : La dette extérieure a baissé, mais c'est la dette intérieure qui a augmenté. Celle-ci a un impact relativement significatif sur l'économie. Pourquoi ? Parce qu'elle engendre ce que l'on appelle l'effet d'éviction. Ça veut dire que l'Etat dispose d'une partie de l'épargne nationale et la détourne pour combler le déficit budgétaire au lieu de la laisser jouer son rôle de financement de l'investissement. Sur ce plan, le système bancaire y a aussi sa part de responsabilité. Les banques préfèrent à la limite financer l'Etat via les bons du Trésor plutôt que l'investissement. Pour les banques, l'Etat est plus sûr. Donc, la dette interne, en se développant trop, puise dans l'épargne nationale et, ce faisant, réduit les possibilités d'investissement dans le pays en ce sens que l'Etat dispose de cette épargne pour combler son déficit au lieu de la laisser à la disposition de l'investissement.
L'Etat opte plus pour la dette intérieure car il n'a aucune emprise sur la dette extérieure. Il peut y avoir un changement qui vous échappe totalement. La dette interne, en revanche, est à la limite maîtrisable. Elle peut en partie être financée par l'inflation qui, soulignons-le, reste toujours maquillée car ne prenant pas en compte plusieurs éléments dont, entre autres, le prix du foncier et de l'immobilier qui connaissent actuellement une surchauffe anormale.
F. N. H. : Concernant la dette extérieure, le ministre des Finances a affirmé que l'essentiel de la dette devient libellé en Euro permettant une couverture contre le risque de changes. En quoi cette option est-elle tenable sachant que le Dirham s'est déprécié par rapport à l'Euro et s'est apprécié par rapport au Dollar, ces derniers temps ?

Anti-Dühring Mr. E. Dühring bouleverse la science F. ENGELS

http://www.marxists.org/francais/engels/works/1878/06/fe18780611u.htm

Anti-Dühring
Mr. E. Dühring bouleverse la science

F. ENGELS

Économie Politique

V. Théorie de la valeur

Il y a environ cent ans paraissait à Leipzig un livre qui connut jusqu'au début de ce siècle trente et quelques éditions, fut répandu, distribué à la ville et aux champs par les autorités, les prédicateurs et les philanthropes de toute espèce et prescrit universellement aux écoles primaires comme livre de lecture. Ce livre s'appelait : L'Ami des enfants, de Rochow. Il avait pour but d'instruire les jeunes rejetons des paysans et des artisans sur leur fonction dans la vie et leurs devoirs envers leurs supérieurs dans la société et l'État, en même temps de leur inculquer un salutaire contentement de leur sort terrestre, avec le pain noir et les pommes de terre, la corvée, les bas salaires, la schlague paternelle et autres agréments de même sorte, et tout cela au moyen des idées alors en vogue de l'ère des lumières. A cette fin, on montrait à la jeunesse de la ville et des champs combien était sage la disposition de la nature qui oblige l'homme à gagner sa vie et ses jouissances par le travail, et combien, par conséquent, le paysan et l'artisan doivent se sentir heureux qu'il leur soit permis d'épicer leurs repas par la sueur de leur travail au lieu de souffrir, comme le riche bambocheur, de maux d'estomac, d'engorgement de la bile ou de constipation et de n'avaler qu'à contrecœur les friandises les plus exquises. Ce sont ces mêmes lieux communs jugés par le vieux Rochow assez bons pour les petits paysans de la Saxe électorale de son temps, que M. Dühring nous offre pages 14 et suivantes de son Cours comme l'élément “ absolument fondamental ” de l'économie politique la plus récente.
“ Les besoins humains ont, en tant que tels, leurs lois naturelles et sont quant à leur accroissement enfermés dans des limites qui ne peuvent être outrepassées pour un temps que par la contre-nature, jusqu'à ce que s'ensuivent la nausée, le dégoût de vivre, la décrépitude, l'étiolement social et, en fin de compte, un salutaire anéantissement ... Un jeu fait de purs divertissements sans autre but sérieux mène bientôt à un état blasé, ou, ce qui revient au même, à l'usure de toute faculté de sentir. Le travail réel sous quelque forme est donc la loi sociale naturelle de personnalités saines ... Si les instincts et les besoins n'avaient pas de contrepoids, ils apporteraient tout juste une existence puérile, loin qu'on puisse parler d'une vie en ascension historique. S'ils étaient pleinement satisfaits sans peine, ils s'épuiseraient bientôt et ne laisseraient derrière eux qu'une existence vide en forme d'intervalles fastidieux s'écoulant jusqu'au retour de ces besoins ... Donc, sous tous les rapports, le fait que la mise en oeuvre des instincts et des passions soit subordonnée à la victoire remportée sur un obstacle économique est une loi fondamentale salutaire de l'institution naturelle extérieure et de la nature intérieure de l'homme ... ”

lundi 25 mars 2013

Friedrich von Hayek, pape de l’ultra-libéralisme par Denis Boneau


http://www.voltairenet.org/article12761.html

L’économiste autrichien Friedrich von Hayek s’est appliqué à discréditer toute forme de régulation de l’économie au motif que celle-ci est trop complexe pour que l’on prétende l’organiser. Sa théorie de « l’État minimal » est devenue la religion du Parti républicain états-unien en opposition aussi bien au « New Deal » des démocrates qu’au marxisme des soviétiques. Son école, financée par les fondations des grandes multinationales, s’est structurée autour de la Société du Mont-Pèlerin, et a obtenu sept fois le prix Nobel d’économie. Elle a inspiré les gouvernements de Pinochet, Reagan et Thatcher.
| Paris (France)
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La pensée économique et politique de Friedrich A. von Hayek s’est imposée comme fondement idéologique de l’ordre libéral. Elle est à la fois le produit d’une histoire particulière et d’un réseau relationnel qui s’est développé à l’ombre des grandes fondations états-uniennes.
Hayek est né à Vienne, en 1899. Sa jeunesse autrichienne est marquée par un climat politique difficile, des grèves massives paralysent le pays. Il assiste à la désorganisation du régime doublement menacé par le populisme, souvent antisémite, et par le socialisme révolutionnaire radicalisé par l’introduction des thèses marxistes. Dans ce contexte, il se passionne pour les thèses de la Société fabienne, un courant réformiste et socialiste anglais, créé par Béatrice et Sidney Webb, et préconisant une révolution spirituelle. Parallèlement, il est initiée à la philosophie de Ludwig Wittgenstein, principal « animateur » du Cercle de Vienne.
Hayek participe aux séminaires de l’économiste Ludwig Von Mises qui réunit autour de lui des disciples qui contribueront à diffuser la bonne parole libérale en France (Jacques Rueff, conseiller du général de Gaulle), en Italie (Luigi Einaudi), en Allemagne (Wilhelm Röpke, Ludwig Erhard), et dans une moindre mesure aux États-Unis (Murray, Rothbard).

dimanche 24 mars 2013

Political Economy/General

http://en.wikibooks.org/wiki/Political_Economy/General

The study of Political Economy is the study of how individuals relate to the state, and in turn, how the states in the world relate to each other.

Contents

Introduction

Political economists are concerned with the allocation of scarce resources in a world of infinite wants and needs. In order to allocate these resources, politics are used within a state to provide for the people. Political economy is the study of the relationships between individuals and society, and more specifically, the relationships between citizens and states. Machiavelli can be considered one of the first political economists as his works provided a link between a ruler and the state along with the use of power in this relationship. Likewise, Thomas Hobbes argued for the power of a sovereign leader because of his assumption that human beings are naturally bad. In the Enlightenment, the view of the role of individuals changed. Individuals were seen as virtuous and rational, able to find a natural Truth within the world. John Locke and Adam Smith helped to provide the fundamental beliefs of liberalism, which is the belief that the state which governs least is the one which governs best. As capitalism flourished in industrial countries in Europe, problems began to emerge from the economic system. As a result, political economists such as Malthus, Hegel, and Marx critiqued capitalism in their works as they presented alternatives to liberalism.
In the 20th century, modern political economists have continued to write about the relationships between individual and the state. Keynes, for example, introduced the alternative liberal idea of the welfare state (which helps to guide and protect the interests of those who have been damaged by the inequalities of the free market).
In all of these examples, these writers have presented new ideas about the allocation of resources within a society in the context of the relationships between individuals and states.

What Political Economy Is

Political economy is a study of philosophy and ideology that studies the evolution of political and economic ideas. Political economy profits from the interdisciplinary application of approaches and concepts that originated in the study of politics, economics, sociology, philosophy, and history. It ultimately concerns itself with the relationship between individuals and the state, and what influences this relationship. Political economists concern themselves not only with mechanics of economics but also with the ideology that supports its translation into policy.
The study of political economy can be split into two different historical periods. The first is known as Political Economy/Classical Political Economy and the other which is Political Economy/Modern Political Economy.

Definitions

La théorie keynésienne

http://www.comptanat.fr/general/keynes.htm

Une analyse théorique, pas des recettes

Il est essentiel de distinguer clairement la théorie keynésienne des politiques économiques qui s’en sont inspirées. En effet, pour éliminer durablement les crises économiques, Keynes ne préconisait pas de développer les déficits publics, mais de maintenir le coût du capital à un niveau proche de zéro.
On peut caractériser la théorie keynésienne en trois points :
  • une réflexion approfondie sur les fondements de l’économie ;
  • des propositions de solutions pour éviter la crise en période de blocage de la croissance ;
  • une prise de position politique en faveur d’une intervention de l’Etat dans l’économie.
Ces trois points sont toujours d’actualité. La théorie keynésienne peut donc toujours être utile à condition, toutefois, de ne pas la réduire à un livre de recettes pour déficits publics réussis et de tenir compte de l’évolution du monde depuis l’époque de Keynes.
Il est impossible, en effet, de comprendre l’économie d’aujourd’hui sans tenir compte de deux phénomènes majeurs qui ont bouleversé le monde depuis le début des années 80, c’est-à-dire la mondialisation et la financiarisation. Les textes proposés sur ce site intègrent cette dimension dans leur réflexion sur la théorie keynésienne. Le premier texte, le plus long, se propose de reformuler l’analyse keynésienne afin de susciter la réflexion et raviver l’esprit critique, le deuxième texte en reprend l’essentiel, le troisième, le plus court, est axé sur les stratégies de sortie de crise.

L'entreprise, boîte grise de la théorie économique

http://www.alternatives-economiques.fr/l-entreprise--boite-grise-de-la-theorie-economique_fr_art_806_41344.html

Olivier Weinstein, Professeur émérite à l'université Paris XIII. Auteur, avec Benjamin Coriat, de Les nouvelles théories de l'entreprise, coll. Le livre de poche, éd. Hachette.
Alternatives Economiques Hors-série n° 079 - décembre 2008

La théorie économique a du mal à appréhender l'entreprise. On commence cependant à y voir plus clair. Mais pour y parvenir, il a fallu renoncer aux postulats de l'économie classique.

La firme est une des institutions majeures du capitalisme moderne, voire son institution centrale. Et pourtant, elle n'avait occupé jusqu'aux années 60, qu'une place très marginale dans la théorie économique. Dans le corpus de la microéconomie standard, la firme était réduite à peu de chose: elle était assimilée à un agent individuel, sans prise en considération de son organisation interne et des questions propres qu'elle soulève. Cette vision sommaire de la firme s'explique par l'objet central de la microéconomie: l'étude des marchés et des mécanismes de prix. Ce n'est qu'à partir des années 70 que la firme va devenir, pour les économistes, un objet propre d'analyse, après la redécouverte d'un article de Ronald Coase de 1937 (1).
La firme comme noeud de contrats
Coase y soulève la question de la nature de la firme: qu'est-ce qu'une firme et pourquoi les firmes existent-elles? Sa réponse est que la firme constitue un mode de coordination économique alternatif au marché. Alors que, sur le marché, la coordination des agents est réalisée par le système de prix, la firme se caractérise par une coordination administrative, par la hiérarchie. Le recours à une telle coordination peut être nécessaire parce que la coordination par les prix entraîne des coûts, ignorés dans les analyses standards du marché, ce qu'on appellera par la suite des coûts de transaction. Quand ces coûts sont supérieurs aux coûts d'organisation interne, la coordination dans la firme s'impose. On trouve ainsi chez Coase deux thèses: d'une part, firme et marché constituent deux modes de coordination profondément différents, d'autre part, la firme est caractérisée par l'existence d'un pouvoir d'autorité, par la hiérarchie.
Les travaux de Coase sont le point de départ de la vision contractuelle de la firme, aujourd'hui dominante chez les économistes. La firme est analysée comme un système de relations contractuelles spécifiques entre agents, un "noeud de contrats". Il s'agit donc de se demander quels contrats sont mis en place et pourquoi. Au centre de ces analyses, se trouvent les problèmes résultant des divergences d'intérêts et des asymétries d'information entre les parties: un agent peut disposer d'informations que les autres n'ont pas et en tirer un profit personnel. L'idée est de trouver le système contractuel le plus efficient, en fonction notamment des contraintes techniques et de la nature des informations détenues par les parties.
On peut identifier deux variantes principales de l'approche contractuelle. La première tente de rendre compte de l'existence et des traits de la firme sans remettre en question les fondements du paradigme néoclassique, fondé sur l'hypothèse de la rationalité des acteurs, le fameux homo oeconomicus. Cela a été fait en développant deux corps d'analyse complémentaires, la théorie des droits de propriété et la théorie de l'agence.
Droits de propriété et théorie de l'agence
Dans la première, la firme est caractérisée par une structure particulière de droits de propriété, définie par un ensemble de contrats. Un "bon" système de droits de propriété est celui qui permet de profiter des avantages de la spécialisation et qui assure un système efficace d'incitation. Dans un article célèbre (2), Armen Alchian et Harold Demsetz tentent ainsi de démontrer que la firme capitaliste classique, l'entreprise individuelle, est la forme d'organisation la plus efficiente quand la technologie impose le travail en équipe.
La théorie de l'agence complète celle des droits de propriété. Elle se propose de déterminer les contrats incitatifs optimaux adaptés aux situations les plus diverses. L'application de cette théorie à l'analyse de la firme est marquée par l'article fondateur de Michael Jensen et William Meckling (3). Ce courant se propose de démontrer l'efficience des formes organisationnelles caractéristiques du capitalisme contemporain, et en particulier de la société par actions. C'est cette théorie qui a servi de fondement aux analyses récentes sur le gouvernement d'entreprise, et de justification au retour du principe de la primauté des actionnaires, comme fondement de la gestion de l'entreprise.

Introduction à la théorie économique de Karl Marx

http://r-eveillez-vous.fr/introduction-a-la-theorie-economique-de-karl-marx/

Ce texte a été rédigé par les marxistes britanniques Rob Sewell et Alan Woods, au début des années 1970.



Introduction

Sous l’impact de la crise du capitalisme, de nombreux tra­vailleurs s’intéressent à l’économie. Ils veulent comprendre les forces qui gouvernent leur existence. L’objectif de cette brochure est de leur offrir, non pas un exposé complet de la théorie économique, mais une introduction aux lois élémentaires du fonctionnement du système capitaliste.
La superficialité des économistes pro-capitalistes est révélée par leur inaptitude à comprendre la crise qui frappe leur système. Leur rôle est de dissimuler l’exploitation de la classe ouvrière et de « prouver » la supériorité du système capitaliste. Mais leurs « théories » et « solutions » ne peuvent rien face au pourrissement du capitalisme. Seule la transformation socialiste de la société et l’introduction d’une économie planifiée permettront d’en finir avec l’enfer du chômage, des récessions et du chaos.
L’aile droite de la direction du mouvement ouvrier a remplacé Keynes, son vieil idole, par des solutions économiques « orthodoxes » : coupes budgétaires, restriction des salaires et déflation monétaire. De leur côté, les réformistes de gauche s’accrochent toujours aux politiques capitalistes du passé – relance par la consommation, restriction des importations1, etc. – qui ont déjà montré leur complète inefficacité.
Seule une analyse marxiste du capitalisme permettra aux travailleurs conscients de réfuter les mensonges des économistes bourgeois et de combattre leur influence au sein du mouvement ouvrier.

Les conditions nécessaires à l’existence du capitalisme

La production moderne est concentrée entre les mains d’entreprises gigantesques. Unilever, ICI, Ford, British Petroleum : ces grandes firmes do­minent nos vies. Il est vrai qu’il existe de petites entreprises, mais elles représentent le mode de production du passé, non celui du présent. La production moderne est essentiellement massive, de grande échelle.
Aujourd’hui, en Grande-Bretagne?, 200 entreprises et 35 banques (ou compagnies financières) contrôlent l’économie du pays, réalisant 85% de la production nationale. Ce développement s’est accompli au cours de ces derniers siècles à travers une compétition impitoyable, des crises et des guerres. A l’époque où les économistes classiques prédisaient l’essor du « libre commerce », Marx expliquait comment la concurrence déboucherait sur le monopole, les entreprises les plus faibles étant éliminées.
De prime abord, il pourrait sembler que la production de biens est avant tout destinée à satisfaire les besoins de la population. C’est évidemment une nécessité à laquelle doit répondre toute forme de société, quelle qu’elle soit. Mais sous le capitalisme, les biens ne sont pas simplement produits pour satisfaire des besoins : ils le sont avant tout pour être vendus. C’est là la fonction essentielle de l’industrie capitaliste. Comme le disait Lord Stokes, ancien président de British Leyland : « Je fais de l’argent, pas des voitures ». C’est là une expression parfaite des aspirations de l’ensemble de la classe capitaliste.
Le mode de production capitaliste suppose qu’un certain nombre de conditions soient rassemblées. Tout d’abord, il faut qu’existe une large classe de travailleurs sans propriété2, qui par conséquent sont obligés de vendre leur force de travail pour vivre. Ceci signifie que, sous le capitalisme, la conception libérale d’une « démocratie de propriétaires » est une absurdité, car si la masse de la population possédait suffisamment de propriété pour subvenir à ses propres besoins, les capitalistes ne trouveraient pas de travailleurs pour générer leurs profits.
Deuxièmement, les moyens de production doivent être concentrés entre les mains des capitalistes. Au cours de plusieurs siècles, les petits paysans et tous ceux qui possédaient leurs propres moyens de subsistance furent impitoyablement éliminés. Les capitalistes et les grands propriétaires terriens firent main basse sur leurs moyens de subsistance, et embauchèrent des travailleurs pour y travailler et créer de la plus-value.

La valeur et les marchandises

Comment le capitalisme fonctionne-t-il ? De quelle façon les travailleurs sont-ils ex­ploités ? D’où vient le profit ? Pourquoi y a-t-il des crises ?

Adam Smith

http://sos.philosophie.free.fr/smith.php
Adam Smith est considéré comme le "père fondateur" de l'économie politique. Fondateur de l'école classique en économie, il est à la fois le père du libéralisme mais aussi celui qui influença la pensée de Hegel et surtout de Marx.

Sommaire

Les sources de sa pensée.

La vie d'Adam Smith

Apport conceptuel.

Principales œuvres.

Les sources de sa pensée.

Adam Smith a étudié les physiocrates (qu'il critiquera). Il appartient aux "Lumières Ecossaises" (Adam Ferguson, Francis Hutcheson). Il a rencontré Voltaire, les encyclopédistes français, Quesnay et Turgot. Il fut surtout lié toute sa vie avec Hume dont il fut l'exécuteur testamentaire.

La vie d'Adam Smith

Cette partie a été rédigée par Xavier Dubois
Adam Smith est né à Kirkcaldy, en Ecosse, baptisé le 5 juin 1723. Son père était contrôleur des douanes, mort six mois avant la naissance de l'enfant. Malgré les soins de sa mère, sa santé est assez fragile. Brillant élève à l'université de Glasgow, où il entre à 14 ans, il se passionne pour les mathématiques où il excelle. Il y suit notamment les cours du philosophe Hutcheson, qui l'imprègne des principes de l'école philosophique écossaise (L'homme est guidé par deux grandes familles de forces instinctuelles : des instincts égoïstes qui développent l'esprit de conquête, des instincts altruistes, sens moral inné, qui favorisent la coopération). Il achève ses études à Oxford, où il entre à l'âge de 17 ans. Il étudie la littérature et la philosophie. Son orientation première était d'entrer dans les ordres, mais la lecture de Hume (dont la découverte d'un livre dans sa chambre lui a failli valoir une exclusion) l'en dissuade.
En 1748, il enseigne la rhétorique et les belles lettres à Edimbourg. Il se lie d'amitié avec Hume, qui est alors réprouvé par les autorités religieuses. En 1751, il obtient la chaire de logique à Glasgow. Anecdote révélatrice, Adam Smith, esprit rationnel opposé au dogmatisme, refuse de donner des cours en latin, ce qu'il considère comme une tradition non fondée sur la Raison. En 1752, il échange sa chaire contre celle de philosophie morale, à où il remplace Hutcheson. Son enseignement a un succès qui retentit jusqu'en Europe : ses élèves viennent parfois de Moscou pour suivre ses cours, Voltaire, notamment, lui en envoie. Smith fréquente les clubs littéraires et politiques de l'époque où il prêche le libre-échange. Il forme, notamment avec Hume, la Société d'Édimbourg « pour encourager les arts, les sciences, l'industrie et l'agriculture en Écosse », en 1754. Il se livre à des travaux philosophiques, comme la Theory of the Moral Sentiments (La Théorie des sentiments moraux), publié en 1759, qui lui vaut une grande admiration et le préceptorat du jeune duc de Buccleuch en 1763, avec qui il entreprend le voyage traditionnel sur le continent. Smith visite ainsi Paris, où il retrouve Hume en 1764, Toulouse, Montpellier, Genève, où il rencontre Voltaire qu'il respecte beaucoup et, de nouveau de passage à Paris, fréquente la société des philosophes et encyclopédistes, dont d'Alembert, D'Holbach , Helvétius, Necker, Turgot, Morellet, Quesnay, avec qui il débat des questions économiques. Durant ce voyage, jusqu'alors maître en philosophie, il est initié à l'économique politique, et les physiocrates l'influencent énormément. Mais le 17 octobre 1766, l'assassinat à Paris du frère cadet de son jeune élève qui les avait rejoints, interrompt brutalement le préceptorat.
Il apparaît que Smith se complaît dans une vie purement intellectuelle, puisque apparemment, le romanesque n'a jamais eu sa place dans la vie de Smith. On dit qu'il fut amoureux d'une anglaise qui l'éconduit, mais sa vie sentimentale se limite à cette anecdote. Distrait et bourré de manies, il témoigne toujours de très peu de goût pour la vie sociale.