http://economie-marocaine.blogspot.com/2009/01/bourse-les-programmes-de-rachat-se.html
L’évolution
en dents-de-scie des indicateurs boursiers continue à alimenter
l’engouement pour les opérations de rachat. En effet, sur la place
casablancaise, pas moins de 14 programmes sont en cours actuellement.
Les plus récents sont ceux de Label’Vie et de Sothema qui viennent de
débuter il y a à peine quelques semaines. Ainsi, pour le seul mois de
décembre, ce sont 11 sociétés cotées qui ont opéré un rachat de leur
propres actions. Et le bilan reste très inégal entre ces dernières. «Les
différences résident dans le fait que les émetteurs agissent en
contre-tendance sur leur titre dans la limite de leurs moyens et en
fonction du cash ou crédit dont ils disposent», explique un analyste. Et
c’est BMCE Bank qui arrive en tête du peloton avec 2.611.729 actions
récupérées durant le même mois selon un cours pondéré de 246,7 DH.
Second du lot, Maroc Telecom rachète 212.620 actions. L’opérateur
téléphonique crée toutefois l’exception en cédant 70.000 titres (au prix
unitaire de 169 DH), à l’heure où tous les autres programmes sont
uniquement orientés vers le rachat. Atlanta arrive en 3e place pour
acquérir 66.149 actions au prix unitaire de 16,82 DH. De son côté,
Label’Vie en rachète 31.727 (1.231 DH) à l’heure où Cartier Saada rentre
en possession de 20.007 de ses titres (16,82 DH). Durant le mois de
décembre, les petites et moyennes
capitalisations ont toutes fait jouer les programmes de rachat pour réguler leurs cours. En revanche, trois grosses pointures (Addoha, BMCI et CGI) se sont abstenues d’opérer des rachats de leurs actions. Les valeurs immobilières phares de la place sont ainsi restées à l’écart de toute transaction. Aucune opération de rachat ou de vente n’a été opérée sur les réserves qu’Addoha ou CGI allouent à leur programme. S’agissant de BMCI, cette dernière ne dispose plus de réserve de titres.
capitalisations ont toutes fait jouer les programmes de rachat pour réguler leurs cours. En revanche, trois grosses pointures (Addoha, BMCI et CGI) se sont abstenues d’opérer des rachats de leurs actions. Les valeurs immobilières phares de la place sont ainsi restées à l’écart de toute transaction. Aucune opération de rachat ou de vente n’a été opérée sur les réserves qu’Addoha ou CGI allouent à leur programme. S’agissant de BMCI, cette dernière ne dispose plus de réserve de titres.
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